
Ce n’est pas un homme en quête de revanche qui se présente. C’est un homme d’État. Meurtri hier dans l’opposition, banni, caricaturé, combattu sans relâche, il aurait pu se détourner du combat. Mais c’est justement dans la douleur qu’Alassane Ouattara a forgé sa force. Il aurait pu céder à l’amertume. Il a choisi la République. Il aurait pu répondre par le ressentiment. Il a répondu par l’action. Il aurait pu se replier sur lui-même. Il a préféré ouvrir les bras à la Nation.
𝑳𝒆 𝒈𝒂𝒓𝒂𝒏𝒕 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒔𝒆́𝒄𝒖𝒓𝒊𝒕𝒆́ 𝒏𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏𝒂𝒍𝒆
La Côte d’Ivoire de 2025 n’est pas un havre de paix par hasard. Elle est stable parce qu’un homme a fait de la sécurité une priorité. Dans un contexte sous-régional marqué par l’instabilité, avec les menaces terroristes persistantes, les velléités putschistes aux frontières, les tentatives de déstabilisation orchestrées depuis des capitales voisines, la Côte d’Ivoire est restée debout. Vigilante. Résiliente.
Ce n’est pas un miracle. C’est le fruit d’une vision, d’une stratégie, d’investissements massifs dans les forces de défense et de sécurité, d’un renforcement du renseignement, d’alliances solides avec les partenaires internationaux. Aujourd’hui, notre pays n’est plus seulement en sécurité : il est devenu un pôle régional de stabilité. Cela, nous le devons au leadership ferme mais apaisant d’un président devenu commandant en chef dans tous les sens du terme.
𝑳’𝒉𝒐𝒎𝒎𝒆 𝒅’𝑬́𝒕𝒂𝒕, 𝒂𝒖-𝒅𝒆𝒔𝒔𝒖𝒔 𝒅𝒆𝒔 𝒄𝒍𝒊𝒗𝒂𝒈𝒆𝒔
Si l’économie ivoirienne a triplé en quinze ans, si les routes, les écoles, les hôpitaux et les ponts ont émergé de toutes parts, c’est parce que la vision d’un homme a su fédérer l’énergie nationale. Mais plus encore que le béton et les chiffres, c’est l’idée de la Nation que le président Ouattara incarne. Une nation qui ne se construit pas dans la haine, dans les clivages ethniques ou générationnels, mais dans la reconnaissance de la valeur de chaque citoyen.
Aujourd’hui encore, alors que certains attisent les peurs, manipulent les foules et pactisent avec les forces obscures hostiles à notre souveraineté, Alassane Ouattara choisit la stabilité, le dialogue, la protection des acquis et la poursuite du progrès.
𝑼𝒏 𝒂𝒄𝒕𝒆 𝒅𝒆 𝒇𝒐𝒊 𝒓𝒆́𝒑𝒖𝒃𝒍𝒊𝒄𝒂𝒊𝒏𝒆
Cette candidature n’est pas une routine. Ce n’est pas un retour en arrière. C’est une avancée en conscience. C’est l’acte d’un homme qui connaît le prix de la paix, qui mesure le poids des responsabilités et qui, au soir de sa vie publique, choisit une fois de plus d’être là. Non pour lui-même, mais pour son peuple. Pour que la Côte d’Ivoire ne replonge jamais. Pour que les générations futures trouvent un pays debout, libre, prospère.
Alassane Ouattara n’est pas un candidat. Il est aujourd’hui le bouclier de la Nation.
Yacouba DOUMBIA
Journaliste